mercredi 28 décembre 2011
Respirez à l'envers
Respirez à l'envers
DEUX MOTS
* Le qi gong est une technique énergétique douce issue de la médecine chinoise.
* La respiration abdominale inversée agit sur l'énergie du rein et de la vessie.
* Elle permet d'évacuer le stress, la fatigue, les troubles de la concentration.
Cette technique respiratoire fait partie des exercices du Qi gong, une pratique énergétique chinoise. Elle permet de se relaxer et de se débarrasser des « pollutions mentales », tout comme certaines cures aident à débarrasser le corps de ses toxines physiques.
Fatigue, baisse de la concentration et de la vigilance...
Pour chasser les idées noires, effacer la fatigue et évacuer le stress, les Chinois proposent de... respirez à l'envers! Mais pas n'importe comment. Parmi les très nombreux exercices énergétiques du qi gong, on apprend à respirer «à l'envers». Cette respiration abdominale inversée possède de très nombreux bienfaits. Elle agit sur les méridiens liés à l'élément «eau» : les reins et la vessie. Or les désordres énergétiques dans ces méridiens provoquent fatigue, troubles de la concentration, agitation, mauvais sommeil, baisse Je la vigilance.
Pour relancer votre tonus au cours de votre cure détox et finir de vous débarrasser de tout ce qui vous encombre, essayez donc cette respiration particulière.
Du bas vers le haut
La posture de base est celle de la médiation : assis en tailleur, sur un petit coussin si vous avez mal aux genoux ; le dos bien droit ; la tête droite, le menton légèrement rentré. Fermez les yeux et respirez à l'envers . Commencez à inspirer en contractant le périnée, ce muscle situé entre l'anus et le sexe.
Imaginez un courant qui remonte de cet endroit jusqu'au sommet de votre tête. Tout en inspirant, contractez vos abdominaux comme si vous vouliez faire remonter votre diaphragme sous vos côtes. Lorsque l'air arrive dans les poumons, gonflez-les, élargissez votre cage thoracique... Vous êtes à présent rempli d'air. Vous pouvez expirer en relâchant d'abord la poitrine, puis l'abdomen, et enfin le périnée, lentement.
Pratiquez pendant quelques minutes chaque soir. Cela vous aidera à évacuer au fur et à mesure les tensions de la journée et vous aidera à garder les idées claires pour affronter le lendemain.
POUR EN SAVOIR PLUS
L'énergie du rein, stimulée par cette respiration, est la plus importante dans la médecine chinoise car c'est l'énergie primordiale, celle qui nourrit toutes les autres. C'est aussi l'énergie sexuelle, celle qui nous permet de nous reproduire. Lorsqu'elle est gravement entravée, on ressent de la peur, parfois intensément et sans raison.
mercredi 21 décembre 2011
Respirez à fond
Respirez à fond
E N DEUX MOTS
* En contrôlant la respiration, on provoque la production de substances anti-douleur
* Le contrôle respiratoire joue un rôle de dérivatif psychique.
* Selon le type de douleur, on doit choisir un rythme respiratoire différent.
La première chose à faire lorsqu'on se sent envahi par une sensation douloureuse, c'est de se calmer et de respirer à fond. Un organisme bien oxygéné supporte mieux la douleur. Focaliser l'attention sur le souffle la détourne de la souffrance...
Dans le corps...
Respirez à fond.Le contrôle respiratoire est au centre des techniques d'accouchement sans douleur, qui ont changé la vie des femmes dans le monde occidental. Ce principe est valable pour bien d'autres douleurs. En contrôlant la respiration, on détend les zones stressées, on améliore la circulation sanguine, on atténue les réactions inflammatoires...
Sur un plan strictement physiologique, les modifications respiratoires entraînent la production dans le corps de substances différentes selon le rythme que l'on adopte. Si l'on respire à fond, calmement, amplement, on augmente l'oxygénation des cellules et la production d'hormones cérébrales apaisantes est améliorée.
... et dans le tête
Autre aspect primordial, en fixant l'attention sur le rythme respiratoire, on détourne le mental de la douleur. Or, on sait que l'intensité de la sensation douloureuse dépend en partie de facteurs psychiques. Respirez à fond. Le contrôle respiratoire joue donc un rôle de dérivatif. C'est une manière d'apprendre à moins souffrir et à modifier son seuil de tolérance. La respiration est un outil simple et gratuit, que l'on transporte avec soi partout où l'on va ! On peut pratiquer quelques exercices où que l'on soit.
POUR EN SAVOIR PLUS
Certains rythmes respiratoires sont plus efficaces pour faire baisser l'intensité de douleurs précises. Ainsi, une respiration calme et profonde a un effet rapide contre les douleurs amplifiées par le stress (migraines, douleurs dorsales dues à la tension...).
À l'inverse, une respiration superficielle et haletante soulage les douleurs abdominales.
Il existe aussi des cas précis, comme la spasmophilie. Les crises, qui ont une dimension douloureuse, sont calmées par la technique du sac ; la personne atteinte dort inspirer et expirer dans un sac étanche (en plastique par exemple), car peu à peu, l'air s'y charge en gaz carbonique, lequel atténue la crise.
mardi 13 décembre 2011
Des granules pour un bon caractére
Des granules pour un bon caractére
EN DEUX MOTS
* L'homéopathie permet de soigner les débordements émotionnels et certains comportements que l'on considère comme des défauts.
* L'anxiété, mais aussi la jalousie, la peur, la tendance à mentir...
* Le choix du traitement est subtil, demandez conseil à un homéopathe.
L'homéopathie agit à la fois sur le corps et sur le mental. Certains médicaments aident à chasser les idées noires, à corriger les petits défauts, à améliorer notre relation au monde. Il serait dommage de s'en priver. D'autant que ces petits granules n'ont aucun effet secondaire gênant.
Plus de rigueur et d'efficacité
Lorsque, à la fin du xv me siècle, Samue Hahnemann établit les bases de la médecine homéopathique, la thérapeutique occidentale balbutiait encore. Ce médeci-allemand était à la recherche de plus de rigueur dans la clinique, plus d'efficacité dans les traitements. Il arrêta de pratiquer la médecine pendant plusieurs années pour se mettre en quête d'une méthode plus satisfaisante.
Des granules pour un bon caractére.L'homéopathie repose sur trois principes : la similitude (un produit soigne les manifestations qu'il provoque) ; l'infinitésimal (il soigne en étant dilué à l'extrême) ; l'individualisation du traitement (celui-ci correspond à un malade particulier, et non à la maladie en général).
Aujourd'hui, la médecine homéopathique est encore au centre de nombreuses controverses. Mais elle est pratiquée par des médecins formés au sein des facultés, et ses ordonnances sont remboursées par la Sécurité sociale.
Soigner ses défauts
Certains médicaments sont destinés à corriger nos états d'âme. Ces débordements émotionnels sont liés, pour les homéopathes, au terrain de leur patient. Ils font partie de leurs traits distinctifs, au même titre que d'autres manifestations physiques. On peut donc les corriger avec un traitement de fond bien choisi.
Des granules pour un bon caractére . L'anxiété, par exemple, peut se soigner avec Ignatia si elle provoquée par des contrariétés répétées, par Aconit si elle est irrationnelle, par Arnica si on vient de subir un choc émotionnel violent... D'autres émotions et comportements, que l'on a tendance à considérer comme des défauts, se soignent aussi avec des médicaments homéopathiques : la jalousie, la peur, la tendance à mentir... Des granules pour un bon caractére.
POUR EN SAVOIR PLUS
Ces traitements homéopathiques à dimension psychologique sont très subtils, il est difficile de trouver soi-même le médicament approprié, car on a toujours du mal à être un bon juge pour ce qui nous concerne. C'est pourquoi il vaut mieux confier le choix du traitement à un médecin homéopathe. Il existe souvent des relations entre certains symptômes physiques et des traits psychologiques ,qui aident le médecin et le guident dans son choix. Ces traitements peuvent avoir des résultats très rapides.
lundi 5 décembre 2011
Les élixirs qui dopent le moral
Les élixirs qui dopent le moral
EN DEUX MOTS
* L'élixir de clématite aide les rêveurs mélancoliques à renouer avec la réalité.
* L'élixir de moutarde soutient le moral des déprimés proches du désespoir
* L'élixir d'olive redonne courage aux égratignés de la vie.
Les élixirs qui dopent le moral
Certains extraits de fleurs ont la vertu de redonner la joie de vivre. La fragile clématite et la piquante moutarde sont au programme !
La clématite : pour ramener les rêveurs à la réalité : Bach conseillait l'élixir de clématite aux «endormis», ceux qui ne sont jamais suffisamment éveillés pour prendre part à la vraie vie. Ils en deviennent mélancoliques, défaitistes, voire, parfois, suicidaires. L'élixir de clématite, Clematis, permet de prendre conscience de la réalité et de s'y intégrer. Il aide aussi à exprimer enfin cette sensibilité et cette créativité endormies. Les élixirs qui dopent le moral .De quoi retrouver tonus et moral...
La moutarde : pour sortir du trou noir : la moutarde pique au palais et réveille les papilles. Son élixir permet de réveiller la force de vie des mélancoliques chroniques, ceux qui se sentent enveloppés d'un gros nuage noir, qui traversent l'existence de crise de larmes en vague à l'âme. Un traitement avec Mustard permet d'atténuer cet état sombre et d'accepter que le soleil revienne enfin, comme après une grosse pluie.
POUR EN SAVOIR PLUS
Les élixirs qui dopent le moral. En plus de son huile et de ses feuilles, l'olivier délivre un élixir destiné aux convalescents que la vie a beaucoup égratignés. L'olive permet à ceux qui ont souffert, moralement et physiquement, de renouer avec leur force, leur vitalité et leur joie profonde
lire aussi: Les élixirs qui calment la peur
mardi 29 novembre 2011
Les élixirs qui calment la peur
Les élixirs qui calment la peur
EN DEUX MOTS
* Contre la peur : muscade pour les craintifs permanents ; tremble pour soulager la peur de catastrophe imminente ; marronnier rouge pour moins s'en faire pour les autres.
Si vous êtes «pollué» par la peur, si elle vous saisit dès le réveil, si vous redoutez une épreuve ou une situation, essayez les élixirs de tremble ou de muscade...
La muscade : pour les craintifs timides
Cet élixir s'adresse aux personnes timides, envahies par un sentiment de crainte. Parfois, de véritables phobies apparaissent : peur du noir, de la foule, de la maladie... Souvent, la crainte s'accompagne d'une extrême sensibilité aux éléments extérieurs:on sursaute au moindre bruit, on ne supporte pas les lumières vives...Les élixirs qui calment la peur L'élixir de muscade, ou Mimulus, permet de calmer cette angoisse latente et de mieux cerner ses limites, ses faiblesses et ses forces. Après une cure, on se sent mieux armé pour affronter la vie.
Le tremble : pour les angoissés. Voilà un remède pour les grands angoissés, qui vivent en permanence dans l'attente d'une catastrophe à venir. Du coup, leur imagination s'active. Parfois, cet état s'accompagne de cauchemars, voire d'un sentiment de persécution.
Les élixirs qui calment la peur .L'élixir de tremble, ou Aspen, améliore les relations que l'on entretient avec sa propre sensibilité. Au lieu de la subir comme une calamité,on en fait une qualité...
POUR EN SAVOIR PLUS
Si vous ne cessez de vous tourmenter pour les autres, au point que cela vous empoisonne l'existence, essayez l'élixir de marronnier rouge, Red Chestnut. Vous cesserez peu à peu d'investir la vie des autres comme si c'était la vôtre !
mardi 22 novembre 2011
Les fleurs en flacons
Les fleurs en flacons
EN DEUX MOTS
* Les élixirs floraux ont été mis au point par le Dr Edward Bach au début du XXe siècle.
* Ils équilibrent les émotions et les états dame.
* Pour choisir le bon élixir; il faut se poser des questions justes et y répondre sincèrement.
Parmi les nombreux remèdes que la nature nous a donnés, pensez aux fleurs. Elles sont belles, odorantes, colorées... En plus, elles ont la vertu de corriger nos états d'âme désordonnés. Les élixirs floraux sont des extraits de fleurs.À essayer les fleurs en flacons
Un matin au soleil
Elles ouvrent leur corolle un matin, dans les premiers rayons du soleil. Une goutte de rosée s'y dépose et se prélasse jusqu'à ce que la chaleur ait eu raison d'elle... C'est en observant ce jeu incessant que le Dr Edward Bach, un médecin anglais du début du XXe siècle, eut l'idée de recueillir la rosée des fleurs pour en faire un élixir.
En bon homéopathe , il avait vu, dans ce mécanisme spontané, une sorte de dilution homéopathique naturelle. Il testa le produit sur quelques patients, et fut étonné par les résultats. Les élixirs( les fleurs en flacons) agissent surtout sur la sphère émotionnelle : ils équilibrent nos états d'âme et régulent leurs débordements. Edward Bach entreprit donc une double démarche : déterminer la sphère d'action de chaque fleur et mettre au point un procédé de fabrication le plus proche possible du procédé d'origine et aisément reproductible. Il mit ainsi au point trente-huit élixirs de fleurs, qui sont aujourd'hui encore largement utilisés dans le monde.
Des questions justes et des réponses sincères
D'autres recherches ont permis de mettre au point de nouveaux élixirs fabriqués à partir d'une flore différente : élixirs californiens, élixirs australiens, élixirs alpins... Pour choisir le bon élixir( les fleurs en flacons), il faut d'abord apprendre à se poser des questions justes et à y répondre avec sincérité. Par exemple : dans quel état est-ce que je me sens le matin lorsque je me réveille : angoissé, peureux, tendu, épuisé ? Cet état est-il durable ou cède-t-il rapidement ? Quel changement est-ce que j'espère obtenir ?
Vous déterminerez ainsi l'élixir qui vous permettra de combattre au mieux vos difficultés.
POUR EN SAVOIR PLUS
On trouve dans les magasins de diététique ou dans certaines pharmacies spécialisées des élixirs concentrés.
On prépare ensuite son élixir pour la journée, en mettant que quelques gouttes du produit dans un demi verre d'eau pure.
On boit ce verre dans la journée, par cuillerées à café.
On peut aussi verser une dizaine de gouttes d'élexir pur dans l'eau du bain
mercredi 16 novembre 2011
Magnésium pour le système nerveux
Magnésium pour le système nerveux
En deux mots
Le magnésium est indispensable à la circulation de l'influx nerveux dans le cerveau et dans le système nerveux.
* Pour éviter les carences, mangez du chocolat, des légumes et fruits secs, ou faites des cures en compléments alimentaires.
Pour aider votre cerveau et votre système nerveux à fonctionner, il faut aussi penser à les nourrir correctement. Certains nutriments leur sont indispensables pour gérer les émotions et évacuer les trop-pleins de tension. C'est notamment le cas du magnésium.Magnésium pour le système nerveux
Magnésium pour le système nerveux. Il sert à tout !
Le magnésium est un minéral formidable! Magnésium pour le système nerveux sert à tout ou presque : sans lui, l'organisme ne peut pas métaboliser la vitamine C, ni se servir du sucre alimentaire dont il a besoin. Le magnésium aide le corps à utiliser les autres minéraux (calcium,phosphore,potassium...). Il agit sur le métabolisme des protéines. Il est indispensable aux muscles pour se contracter, raison pour laquelle on a des crampes lorsqu'on en manque.
Cela suffirait pour faire de lui une star. Mais il a une autre fonction, plus importan te encore : il est nécessaire à la trans-mission de l'influx nerveux entre les cellules nerveuses et cérébrales. Alors, si vous décidez de mettre de l'ordre dans vos émotions et vos tensions nerveuses pour parfaire votre cure détox, il vous faut veiller à ne pas manquer de magnésium . Sinon,tous vos efforts resteront lettre morte.
Chocolat, noisettes et légumes secs
C'est d'autant plus important que nous sommes souvent carences en magnésium .Deux facteurs se conjuguent pour nous mener à ce manque. D'abord, nous mangeons de moins en moins d'aliments riches en magnésium à cause de notre obsession de la minceur. Nous devrions manger du chocolat noir, des noix, des noisettes, des amandes, des légumes secs (lentilles, haricots,pois chiches...). Autant d'aliments caloriques qui se font rares dans nos programmes alimentaires, Parallèlement, nous menons des vies stressantes. Or, pendant les moments de grande tension nerveuse, notre corps consomme beaucoup plus de magnésium. Pour ne pas en manquer, il faut donc réintroduire dans nos repas ces petits en-cas naturels.
POUR EN SAVOIR PLUS
Une petite cure de supplementation peut aussi s'avérer indiquée, surtout si vous vous sentez très nerveux et mentalement fatigué. Le magnésium peut se consommer sous plusieurs formes : en gélules, en comprimés, en ampoules buvables. La posologie dépend du conditionnement. Vous pouvez en prendre jusqu'à 500 mg par jour sans courir le moindre risque.
mardi 8 novembre 2011
Relaxez-vous
Relaxez-vous
En deux mots
Qu'elle cherche à relaxer le corps pour atteindre le mental, ou à relaxer l'esprit pour toucher le corps, le principe de relaxation est le même.
La respiration est au centre des pratiques de relaxation.
La relaxation est bel et bien l'arme numéro I pour apprivoiser le stress. Le terme regroupe de nombreuses pratiques très anciennes, même si elles ont subi un sacré lifting depuis trente ans. Leurs maîtres-mots sont les mêmes : respiration, concentration... Relaxez-vous
L'anxiété et son cortège de manifestations somatiques
Le corps et le mental sont indissociable-ment liés, surtout dans les états de tension et de stress. Les muscles se contractent en même temps que les pensées s'emballent, la respiration se crispe pendant que les idées deviennent sombres... Comme si l'anxiété et son cortège de manifestations somatiques savaient profiter de la moindre brèche, psychique ou physique,pour s'immiscer en nous et nous miner subrepticement, le stress n'est pas une invention du monde moderne, même si nos conditions de vie actuelles lui déroulent un véritable tapis rouge. Depuis de nombreux siècles, dans toutes les civilisations, les hommes ont développé des techniques qui leur permettaient de se concentrer, de se refugier à l'intérieur d'eux-mêmes pour échapper aux tracas du monde. Une manière d'inverser le processus : pendant que la respiration se débloque, les pensées noires se dissolvent, pendant que les muscles se détendent, les pensées se calment... Relaxez-vous
Sophrologie, training autogène, méditation...
Au centre de ces pratiques, on trouve toujours une pratique respiratoire : en maîtrisant son souffle, en concentrant son mentai sur ce simple rythme vital, on se coupe du monde extérieur. D'autres techniques, comme la relaxation de Jacobson, axent le travail sur la détente musculaire volontaire. C'est donc en décontractant ses muscles que l'on apaise son esprit. La sophrologie travaille sur le changement d'état de conscience :on est plongé dans un état intermédiaire entre la veille et le sommeil, au cours duquel on provoque des images mentales qui apportent la detente. Le training autogène utilise les sensations corporelles (chaleur, lourdeur des membres...) pour induire la relaxation. Ces pratiques s'apprennent généralement auprès d'un thérapeute, puis se pratiquent seul, au quotidien.Toutes aident à se libérer, au fur et à mesure, des tensions excessives afin de ne pas accumuler tensions nerveuses, contrariétés et émotions négatives.
POUR EN SAVOIR PLUS
La méditation est une pratique plus mentale. Toutes íes religions possèdent leur forme de méditation : la prière chrétienne comme la posture du zen, le yoga hin-douiste comme les danses des derviches tourneurs musulmans...
Dans ce cas, c'est clairement pour se rapprocher de Dieu que les pratiquants se mettent en état de vide mental. Qu'importe : le résultat est le même. Le vide mental induit une détente profonde que l'on peut, ensuite, utiliser à sa guise.
dimanche 30 octobre 2011
Précieuses endorphines
Précieuses endorphines
EN DEUX MOTS
Les précieuses endorphines sont des neurohormones naturelles à la fols euphorisantes et analgésiques.
Le rire est un bon remède contre la douleur
Quand on souffre, on n'a pas le cœur à rire. Cependant, lorsqu'une crise d'hilarité nous prend au dépourvu, on en oublie sa douleur. La sécrétion précieuses d'endorphines s'accélère et endort la sensation douloureuse. Vous avez mal ? Regardez les Marx Brothers !
Précieuses endorphines
Au centre de notre équipement endogène antidouleur se trouvent les précieuses endorphines. Ces neurohormones proches de la morphine ont été découvertes par des chercheurs qui cherchaient à com-prendre le mode de fonctionnement de cette drogue au fort pouvoir analgé-sique. Lorsqu'ils découvrirent dans le cerveau des récepteurs spécifiques dans lesquels se fixe la morphine pour declencher son action, ils se dirent que la nature ne nous avait pas dotés sans raison de ces récepteurs. Ils en déduisirent que les êtres humains fabriquent leur propre morphine.
En fait,il s'agit d'un groupe de substances, le plus souvent des peptides composés d'acides aminés, parmi lesquelles les enképhalines, les dynorphines et surtout, les endorphines. Ces substances sont à la fois euphorisantes et analgésiques.
Se soigner en riant
Nous sécrétons des précieuses endorphines dans les situations de stress et de douleur, mais aussi dans les moments de plaisir, notamment lorsque nous rions. Un bon fou rire déclenche une forte production d'endorphines,ce qui explique que l'on se sente ensuite léger et euphorique. C'est ainsi qu'est née la thérapie par le rire. On cite souvent le cas de Norman Cousins, un Américain atteint d'une maladie rare, douloureuse et en principe mortelle, la collagénose. Il s'aperçut que lorsqu'il riait, les douleurs s'endormaient pour deux heures au moins. Il se concocta un programme à base de films drôles, de BD et autres sketches d'humoristes, et son état s'améliora. Pourquoi ne pas l'imiter ?
POUR EN SAVOIR PLUS
L'exercice physique génère aussi une forte production précieuses d'endorphines. Ce sont elles qui permettent aux sportifs de haut niveau de dépasser leurs limites.
Comme la morphine, les endorphines provoquent une sorte d'accoutumance Celle-ci peut pousser certaines personnes à abuser des situations à l'occasion desquelles ils ressentent leurs effets : excès d'efforts sportifs, excès de stress professionnel...
EN DEUX MOTS
Les précieuses endorphines sont des neurohormones naturelles à la fols euphorisantes et analgésiques.
Le rire est un bon remède contre la douleur
Quand on souffre, on n'a pas le cœur à rire. Cependant, lorsqu'une crise d'hilarité nous prend au dépourvu, on en oublie sa douleur. La sécrétion précieuses d'endorphines s'accélère et endort la sensation douloureuse. Vous avez mal ? Regardez les Marx Brothers !
Précieuses endorphines
Au centre de notre équipement endogène antidouleur se trouvent les précieuses endorphines. Ces neurohormones proches de la morphine ont été découvertes par des chercheurs qui cherchaient à com-prendre le mode de fonctionnement de cette drogue au fort pouvoir analgé-sique. Lorsqu'ils découvrirent dans le cerveau des récepteurs spécifiques dans lesquels se fixe la morphine pour declencher son action, ils se dirent que la nature ne nous avait pas dotés sans raison de ces récepteurs. Ils en déduisirent que les êtres humains fabriquent leur propre morphine.
En fait,il s'agit d'un groupe de substances, le plus souvent des peptides composés d'acides aminés, parmi lesquelles les enképhalines, les dynorphines et surtout, les endorphines. Ces substances sont à la fois euphorisantes et analgésiques.
Se soigner en riant
Nous sécrétons des précieuses endorphines dans les situations de stress et de douleur, mais aussi dans les moments de plaisir, notamment lorsque nous rions. Un bon fou rire déclenche une forte production d'endorphines,ce qui explique que l'on se sente ensuite léger et euphorique. C'est ainsi qu'est née la thérapie par le rire. On cite souvent le cas de Norman Cousins, un Américain atteint d'une maladie rare, douloureuse et en principe mortelle, la collagénose. Il s'aperçut que lorsqu'il riait, les douleurs s'endormaient pour deux heures au moins. Il se concocta un programme à base de films drôles, de BD et autres sketches d'humoristes, et son état s'améliora. Pourquoi ne pas l'imiter ?
POUR EN SAVOIR PLUS
L'exercice physique génère aussi une forte production précieuses d'endorphines. Ce sont elles qui permettent aux sportifs de haut niveau de dépasser leurs limites.
Comme la morphine, les endorphines provoquent une sorte d'accoutumance Celle-ci peut pousser certaines personnes à abuser des situations à l'occasion desquelles ils ressentent leurs effets : excès d'efforts sportifs, excès de stress professionnel...
samedi 22 octobre 2011
Pour éviter les maux de tête de la famille
Pour éviter les maux de tête de la famille
Si vous êtes sujet aux maux de tête, pour éviter les maux de tête de la famille , il vous faut trouver la juste mesure entre abnégation et caprices. Surtout si vous et votre conjoint avez deux personnalités complémentaires...
Le milieu familial est souvent riche de contrariétés.
Les deux font la paire
Les couples se forment souvent selon des associations entre des personnalité: à dominante sympathique et des sujets à dominante parasympathique. Qu'il s'agisse de relations amoureuses ou amicales, cela répond à une tendance naturelle à rechercher chez l'autre une différence complémentaire. Si chacun laisse à l'autre un espace à l'intérieur duquel il peut s'exprimer, pas de problème. Mais si l'un des deux devient dominant, l'autre est obligé de « prendre sur lui » pour mettre de côté ce qu'il est réellement. Le système nerveux autonome se fait l'écho de ces perturbations et finit par réagir.
Accepter l'autre et s'affirmer soi
Lorsqu'un sympathique vit avec un parasympathique, il est parfois amené à se freiner. Si cela se reproduit trop souvent, le système parasympathique réagit et la douleur s'installe. À l'inverse, si c'est le parasympathique qui se force à s'activer au-delà de ses capacités, son système nerveux se venge et les maux de tête apparaissent. Pour éviter ces débordements douloureux, il faut apprendre à la fois à accepter l'autre comme il est et à s'affirmer. C'est la meilleure façon d'éviter les conflits qui, par la pression nerveuse qu'ils engendrent, finissent souvent en crise douloureuse chez les personnes sensibles.
POUR EN SAVOIR P L U S
Il existe des familles de «migraineux». À chaque génération, au moins un des membres se retrouve sujet à des maux de tête fréquents.
Il existe sans doute un facteur sensibilisation génétique, mais transmission des maux de tête tient aussi beaucoup à une manière de vivre, à des habitudes, à des comportements acquis dans le milieu familial.
Si vous êtes particulièrement sensible aux maux de tête,
observez bien vos enfants.Pour éviter les maux de tête de la famille ,essayez de percevoir quel est leur comportement dominant. Et apprenez-leur à vivre avec, sans se brimer ni pour autant écraser les autres. Leur bien-être d'adulte en dépend.
EN DEUX MOTS
* Les couples (amis, mari et femme...) se forment souvent de manière complémentaire : un sympathique et un parasympathique.
* Il est alors indispensable que chacun accepte l'autre comme il est et lui laisse un espace d'expression, faute de quoi celui qui se brime risque d'exprimer sa frustration à travers des maux de tête.
Le milieu familial est souvent riche de contrariétés.
Les deux font la paire
Les couples se forment souvent selon des associations entre des personnalité: à dominante sympathique et des sujets à dominante parasympathique. Qu'il s'agisse de relations amoureuses ou amicales, cela répond à une tendance naturelle à rechercher chez l'autre une différence complémentaire. Si chacun laisse à l'autre un espace à l'intérieur duquel il peut s'exprimer, pas de problème. Mais si l'un des deux devient dominant, l'autre est obligé de « prendre sur lui » pour mettre de côté ce qu'il est réellement. Le système nerveux autonome se fait l'écho de ces perturbations et finit par réagir.
Accepter l'autre et s'affirmer soi
Lorsqu'un sympathique vit avec un parasympathique, il est parfois amené à se freiner. Si cela se reproduit trop souvent, le système parasympathique réagit et la douleur s'installe. À l'inverse, si c'est le parasympathique qui se force à s'activer au-delà de ses capacités, son système nerveux se venge et les maux de tête apparaissent. Pour éviter ces débordements douloureux, il faut apprendre à la fois à accepter l'autre comme il est et à s'affirmer. C'est la meilleure façon d'éviter les conflits qui, par la pression nerveuse qu'ils engendrent, finissent souvent en crise douloureuse chez les personnes sensibles.
POUR EN SAVOIR P L U S
Il existe des familles de «migraineux». À chaque génération, au moins un des membres se retrouve sujet à des maux de tête fréquents.
Il existe sans doute un facteur sensibilisation génétique, mais transmission des maux de tête tient aussi beaucoup à une manière de vivre, à des habitudes, à des comportements acquis dans le milieu familial.
Si vous êtes particulièrement sensible aux maux de tête,
observez bien vos enfants.Pour éviter les maux de tête de la famille ,essayez de percevoir quel est leur comportement dominant. Et apprenez-leur à vivre avec, sans se brimer ni pour autant écraser les autres. Leur bien-être d'adulte en dépend.
jeudi 13 octobre 2011
Gérer les stress
EN DEUX MOTS
* Le stress en lui-même n'est ni bon ni mauvais.
* C'est l'excès de stress qui nous use lentement.
* Pour apprivoiser le stress, il faut apprendre à se relaxer; à se faire plaisir; à faire du sport.
C'est un mot que l'on entend dans toutes les bouches, que l'on voit dans tous les magazines. Le stress est accusé de tous les maux. S'il peut avoir sur nous des effets délétères, on peut pourtant s'en faire un ami, à condition de faire connaissance avec lui...
Bon ou mauvais stress ?
Le stress en lui-même n'est ni bon ni mauvais. C'est l'ensemble de ce qui nous stimule, de ce qui nous pousse à réagir, à agir, àchoisir.à nous défendre... À vivre, donc! Sans lui, les animaux que nous sommes ne se seraient jamais adaptés à leur environnement, et les humains que nous sommes devenus n'auraient pas évolué. Cependant, cette stimulation indispensable peut se retourner contre nous. Lorsque les agents stressants sont trop pesants, trop violents,trop répétés, lorsque nous n'avons aucune défense à leur opposer, ils provoquent en nous une lente érosion. Notre mental se délite en premier, nous perdons nos repères, nos mécanismes de défense s'émoussent, nos émotions se dérèglent, puis c'est notre corps qui souffre. L'excès de stress se manifeste notamment par des orages hormonaux qui finissent par dérégler la machine toute entière et qui entraînent une accumulation de toxines supplémentaires.
Un équipement de moins en moins performant
Nous disposons d'un équipement très sophistiqué pour faire face au stress. Lorsqu'une émotion violente nous submerge, le rythme cardiaque s'accélère pour amener plus d'oxygène aux organes qui en ont besoin : les muscles pour s'enfuir ou se battre, le cerveau pour élaborer une stratégie. Un flot d'adrénaline envahit l'organisme pour l'aider à mobiliser ses forces. Mais aujourd'hui, la lutte physique comme la fuite sont généralement des stratégies obsolètes. Les modifications physiques ne servent à rien ! Nous sommes enfermés dans des contraintes sociales qui rendent les réactions délicates. C'est ainsi que le corps,en supportant le poids de toutes ces réactions sans objet, se dérègle, -tour se détoxiquer en profondeur, il faut donc s'attaquer en priorité au stress ou, mieux : l'apprivoiser.
POUR EN SAVOIR PLUS
Relaxation, détente, plaisir, temps pour soi, activités sportives et créatives... voilà les armes les plus efficaces pour apprendre à lutter contre l'excès de stress, à prendre de la distance par rapport aux problèmes insolubles, sans pour autant renoncer aux stimulations positives.
Certaines plantes, comme la marjolaine, le ginseng ou le millepertuis, sont très efficaces pour nous aider à nous adapter au stress ambiant
EN DEUX MOTS
* Le stress en lui-même n'est ni bon ni mauvais.
* C'est l'excès de stress qui nous use lentement.
* Pour apprivoiser le stress, il faut apprendre à se relaxer; à se faire plaisir; à faire du sport.
C'est un mot que l'on entend dans toutes les bouches, que l'on voit dans tous les magazines. Le stress est accusé de tous les maux. S'il peut avoir sur nous des effets délétères, on peut pourtant s'en faire un ami, à condition de faire connaissance avec lui...
Bon ou mauvais stress ?
Le stress en lui-même n'est ni bon ni mauvais. C'est l'ensemble de ce qui nous stimule, de ce qui nous pousse à réagir, à agir, àchoisir.à nous défendre... À vivre, donc! Sans lui, les animaux que nous sommes ne se seraient jamais adaptés à leur environnement, et les humains que nous sommes devenus n'auraient pas évolué. Cependant, cette stimulation indispensable peut se retourner contre nous. Lorsque les agents stressants sont trop pesants, trop violents,trop répétés, lorsque nous n'avons aucune défense à leur opposer, ils provoquent en nous une lente érosion. Notre mental se délite en premier, nous perdons nos repères, nos mécanismes de défense s'émoussent, nos émotions se dérèglent, puis c'est notre corps qui souffre. L'excès de stress se manifeste notamment par des orages hormonaux qui finissent par dérégler la machine toute entière et qui entraînent une accumulation de toxines supplémentaires.
Un équipement de moins en moins performant
Nous disposons d'un équipement très sophistiqué pour faire face au stress. Lorsqu'une émotion violente nous submerge, le rythme cardiaque s'accélère pour amener plus d'oxygène aux organes qui en ont besoin : les muscles pour s'enfuir ou se battre, le cerveau pour élaborer une stratégie. Un flot d'adrénaline envahit l'organisme pour l'aider à mobiliser ses forces. Mais aujourd'hui, la lutte physique comme la fuite sont généralement des stratégies obsolètes. Les modifications physiques ne servent à rien ! Nous sommes enfermés dans des contraintes sociales qui rendent les réactions délicates. C'est ainsi que le corps,en supportant le poids de toutes ces réactions sans objet, se dérègle, -tour se détoxiquer en profondeur, il faut donc s'attaquer en priorité au stress ou, mieux : l'apprivoiser.
POUR EN SAVOIR PLUS
Relaxation, détente, plaisir, temps pour soi, activités sportives et créatives... voilà les armes les plus efficaces pour apprendre à lutter contre l'excès de stress, à prendre de la distance par rapport aux problèmes insolubles, sans pour autant renoncer aux stimulations positives.
Certaines plantes, comme la marjolaine, le ginseng ou le millepertuis, sont très efficaces pour nous aider à nous adapter au stress ambiant
samedi 1 octobre 2011
Il faut en finir avec la jalousie
Il faut en finir avec la jalousie
EN DEUX MOTS
La jalousie est un toxique qui empoisonne l'existence.
Elle n'a rien à voir avec la réalité, mais se nourrit de projections et de fantasmes.
Pour s'en guérir; il faut parvenir à mettre une distance entre cette «bête» et soi.Il faut en finir avec la jalousie
En voilà une qui empoisonne l'existence. Même lorsqu'elle est justifiée, la jalousie est une usure lente et insidieuse qui abîme les relations et grignote la sérénité. Elle peut parfois envahir tout l'espace. Pour vous désintoxiquer la tête et l'âme, chassez-la !
Un martyre masochiste
La jalousie joue un rôle dans notre économie psychique. Elle nous permet de défendre notre territoire, d'en dessiner plus clairement les limites. Elle mobilise notre énergie et notre agressivité pour nous pousser à agir, voire à réagir. Elle devient alors le carburant de nos décisions. Mais souvent la jalousie s'emballe. Elle prend le pouvoir sur nous et occulte la vérité. C'est alors qu'elle commence à nous empoisonner l'existence. Nous devenons l'objet d'une lente torture silencieuse, un martyre purement masochiste. Le soupçon devient une autre façon de respirer.Il faut en finir avec la jalousie.
Le vrai problème de la jalousie est sa totale déconnexion du réel. Ce n'est pas a réalité qui nous fait alors souffrir, mais nos projections et nos fantasmes. Peu importe qu'ils soient vrais ou faux, ils alimentent notre machine à détruire le calme et la sérénité.
Couple, amitié, voisinage...
Le rapport de couple est, bien sûr, le terreau idéal de la jalousie. Mais cette herbe folle pousse parfois dans des terrains proches : l'amitié, le voisinage, les relations parents-enfants... Seul point indispensable : il faut que le jaloux puisse soupçonner l'autre d'une trahison impardonnable. Il faut en finir avec la jalousie.Les vraies jalousies pathologiques sont du recours du psy. Une fois encore, c'est notre petite enfance qui est en cause. Mais les petits débordements de jalousie, que tout le monde connaît un jour ou l'autre, peuvent se corriger en mettant un peu de distance entre soi et la projection fantasmatique. Nous avons tout à y gagner : quelle libération lorsque la petite bête s'est envolée et qu'on retrouve sa sérénité ! C'est un vrai poison toxique qui disparaît, et toute la vie s'en trouve améliorée.
POUR EN SAVOIR PLUS
Quelques pistes à suivre pour attaquer la jalousie de front.
Lorsque vous sentez monter un soupçon,demandez-vous immédiatement si vous vous posez les bonnes questions.
Il faut en finir avec la jalousie.
La jalousie n'est pas un défaut, ce n'est pas un trait de caractère dont on ne peut se défaire. C'est un comportement névrotique dont on peut sortir.
La jalousie procure une souffrance pire que toutes les trahisons du monde : prenez-en conscience, cela vous aidera à vous guérir.
EN DEUX MOTS
La jalousie est un toxique qui empoisonne l'existence.
Elle n'a rien à voir avec la réalité, mais se nourrit de projections et de fantasmes.
Pour s'en guérir; il faut parvenir à mettre une distance entre cette «bête» et soi.Il faut en finir avec la jalousie
En voilà une qui empoisonne l'existence. Même lorsqu'elle est justifiée, la jalousie est une usure lente et insidieuse qui abîme les relations et grignote la sérénité. Elle peut parfois envahir tout l'espace. Pour vous désintoxiquer la tête et l'âme, chassez-la !
Un martyre masochiste
La jalousie joue un rôle dans notre économie psychique. Elle nous permet de défendre notre territoire, d'en dessiner plus clairement les limites. Elle mobilise notre énergie et notre agressivité pour nous pousser à agir, voire à réagir. Elle devient alors le carburant de nos décisions. Mais souvent la jalousie s'emballe. Elle prend le pouvoir sur nous et occulte la vérité. C'est alors qu'elle commence à nous empoisonner l'existence. Nous devenons l'objet d'une lente torture silencieuse, un martyre purement masochiste. Le soupçon devient une autre façon de respirer.Il faut en finir avec la jalousie.
Le vrai problème de la jalousie est sa totale déconnexion du réel. Ce n'est pas a réalité qui nous fait alors souffrir, mais nos projections et nos fantasmes. Peu importe qu'ils soient vrais ou faux, ils alimentent notre machine à détruire le calme et la sérénité.
Couple, amitié, voisinage...
Le rapport de couple est, bien sûr, le terreau idéal de la jalousie. Mais cette herbe folle pousse parfois dans des terrains proches : l'amitié, le voisinage, les relations parents-enfants... Seul point indispensable : il faut que le jaloux puisse soupçonner l'autre d'une trahison impardonnable. Il faut en finir avec la jalousie.Les vraies jalousies pathologiques sont du recours du psy. Une fois encore, c'est notre petite enfance qui est en cause. Mais les petits débordements de jalousie, que tout le monde connaît un jour ou l'autre, peuvent se corriger en mettant un peu de distance entre soi et la projection fantasmatique. Nous avons tout à y gagner : quelle libération lorsque la petite bête s'est envolée et qu'on retrouve sa sérénité ! C'est un vrai poison toxique qui disparaît, et toute la vie s'en trouve améliorée.
POUR EN SAVOIR PLUS
Quelques pistes à suivre pour attaquer la jalousie de front.
Lorsque vous sentez monter un soupçon,demandez-vous immédiatement si vous vous posez les bonnes questions.
Il faut en finir avec la jalousie.
La jalousie n'est pas un défaut, ce n'est pas un trait de caractère dont on ne peut se défaire. C'est un comportement névrotique dont on peut sortir.
La jalousie procure une souffrance pire que toutes les trahisons du monde : prenez-en conscience, cela vous aidera à vous guérir.
samedi 24 septembre 2011
Delivrez de la culpabilité
Delivrez de la culpabilité
EN DEUX MOTS
* Il ne faut pas confondre
la culpabilité réelle et le sentiment diffus de culpabilité.
* Ce sentiment se manifeste lorsqu'on se sent coupable tout le temps, sans savoir de quoi .Delivrez de la culpabilité
* Pour s'en défaire, il faut retisser un à un les fils de la confiance en soi.
C'est le poison mental numéro I. C'est en s'appuyant sur notre culpabilité que les autres nous manipulent. C'est en nous accrochant à elle que nous construisons nos propres prisons intérieures. La culpabilité ne sert à rien, sinon à nous polluer l'âme. Delivrez de la culpabilité
Un sentiment erroné
Il ne faut pas confondre la culpabilité et le sentiment de culpabilité. La première désigne le fait d'être coupable d'une faute, petite ou grande. Cela nous arrive, comme à tout le monde. Si l'on se montre honnête envers soi-même et envers les autres, on prend conscience de ces fautes, on peut s'excuser et, dans la plupart des cas, réparer. Très différent est le sentiment de culpabilité. L'expression désigne cette sensation diffuse, subjective, que nous devons avoir quelque chose à nous reprocher en toute circonstance. On se sent alors prêt à endosser la responsabilité de n'importe quoi. On s'interdit de réussir pour ne pas dépasser les autres, on se refuse le droit d'aimer ou d'être aimé parce qu'on pense ne pas le mériter... Cette faculté que nous avons de nous sentir coupables de tout et de rien entrave notre chemin vers l'avenir aussi sûrement que des semelles de plomb ! Delivrez de la culpabilité
Tu ne fais que des bêtises
Une vraie culpabilité névrotique demande un suivi psychothérapeutique parfois long. Cependant, souvent, nous devons simplement nous défaire d'une habitude que nous avons prise dans l'enfance. Un enfant qui assiste à un événement grave (le décès d'un aïeul, le départ d'un parent...) sans qu'on lui fournisse d'explication pense forcément qu'il est coupable et prend la faute sur ses épaules. Si, en plus, on lui assène des phrases assassines comme «Tu ne fais que des bêtises !», il finit par rendre permanente cette culpabilité-poison. Elle lui colle au cœur et au mental. Pour s'en défaire, il faut faire le chemin à l'envers et prendre conscience des moments où cette mauvaise habitude nous a envahis, puis retisser un à un les fils de la confiance en soi...Delivrez de la culpabilité
POUR EN SAVOIR PLUS
Pour se défaire de sa culpabilité, il faut d'abord apprendre à ne plus se mentir à soi-même.
Si on y arrive, il est bon d'aimer l'enfant que l'on a été, avec tout ce qu'il a vécu et subi, et de lui pardonner ses erreurs.
Personne n'est jamais totalement innocent ni totalement coupable : c'est un point de départ sur lequel on peut s'appuyer pour entamer le travail de reconstruction.
EN DEUX MOTS
* Il ne faut pas confondre
la culpabilité réelle et le sentiment diffus de culpabilité.
* Ce sentiment se manifeste lorsqu'on se sent coupable tout le temps, sans savoir de quoi .Delivrez de la culpabilité
* Pour s'en défaire, il faut retisser un à un les fils de la confiance en soi.
C'est le poison mental numéro I. C'est en s'appuyant sur notre culpabilité que les autres nous manipulent. C'est en nous accrochant à elle que nous construisons nos propres prisons intérieures. La culpabilité ne sert à rien, sinon à nous polluer l'âme. Delivrez de la culpabilité
Un sentiment erroné
Il ne faut pas confondre la culpabilité et le sentiment de culpabilité. La première désigne le fait d'être coupable d'une faute, petite ou grande. Cela nous arrive, comme à tout le monde. Si l'on se montre honnête envers soi-même et envers les autres, on prend conscience de ces fautes, on peut s'excuser et, dans la plupart des cas, réparer. Très différent est le sentiment de culpabilité. L'expression désigne cette sensation diffuse, subjective, que nous devons avoir quelque chose à nous reprocher en toute circonstance. On se sent alors prêt à endosser la responsabilité de n'importe quoi. On s'interdit de réussir pour ne pas dépasser les autres, on se refuse le droit d'aimer ou d'être aimé parce qu'on pense ne pas le mériter... Cette faculté que nous avons de nous sentir coupables de tout et de rien entrave notre chemin vers l'avenir aussi sûrement que des semelles de plomb ! Delivrez de la culpabilité
Tu ne fais que des bêtises
Une vraie culpabilité névrotique demande un suivi psychothérapeutique parfois long. Cependant, souvent, nous devons simplement nous défaire d'une habitude que nous avons prise dans l'enfance. Un enfant qui assiste à un événement grave (le décès d'un aïeul, le départ d'un parent...) sans qu'on lui fournisse d'explication pense forcément qu'il est coupable et prend la faute sur ses épaules. Si, en plus, on lui assène des phrases assassines comme «Tu ne fais que des bêtises !», il finit par rendre permanente cette culpabilité-poison. Elle lui colle au cœur et au mental. Pour s'en défaire, il faut faire le chemin à l'envers et prendre conscience des moments où cette mauvaise habitude nous a envahis, puis retisser un à un les fils de la confiance en soi...Delivrez de la culpabilité
POUR EN SAVOIR PLUS
Pour se défaire de sa culpabilité, il faut d'abord apprendre à ne plus se mentir à soi-même.
Si on y arrive, il est bon d'aimer l'enfant que l'on a été, avec tout ce qu'il a vécu et subi, et de lui pardonner ses erreurs.
Personne n'est jamais totalement innocent ni totalement coupable : c'est un point de départ sur lequel on peut s'appuyer pour entamer le travail de reconstruction.
samedi 17 septembre 2011
Il faut parfois dire non
Il faut parfois dire non
EN DEUX MOTS
En disant «oui» à tout, on crée en soi des états de tension qui finissent par provoquer des malaises .Il faut parfois dire non!
La faculté d'affirmation s'apprend dans l'enfance. Mais il est toujours temps d'affirmer ses désirs !
Nous nous croyons souvent obligés d'accepter ce qui nous ennuie, sous des prétextes vaseux que nous construisons nous-mêmes. Tout ça par peur que les autres n'acceptent pas nos refus. Qu'ils ne nous aiment plus ! Une mauvaise habitude à chasser d'urgence...
Une question de désir
En disant toujours « oui »,à tout et àtout le monde, certaines personnes ont l'impression de se garantir contre le fait ce n'être pas aimables, donc pas aimées Sans aller jusque-là, nombreux sont ceux qui ont tendance à « lâcher » face à une demande appuyée, à s'effacer quand leu-interlocuteur semble sûr de son bor droit et de ses prérogatives. Pourtant, leur parole n'a rien à voir avec leur vrai désir.Il faut parfois dire non! Ces deux éléments se heurtent, se cognent, faisant des étincelles à l'intérieur de l'être. Dans un premier temps, on parvient à se cacher ces tensions. Mais elles finissent toujours par ressurgir sous une forme ou sous une autre : fatigue, déprime, irritabilité... Nous ne pouvons pas vivre éternellement éloignés de nos propres désirs et collés à ceux des autres.
La phase du non
Cette attitude se construit dans l'enfance. Vers l'âge de deux ans, tous les enfants passent par une phase du « non ». Ils disent et répètent ce mot à longueur de journée, s'en délectent, opposent un refus systématique à tout ce qu'on leur propose. Ils acquièrent ainsi leur première autonomie par rapport à leur mère et à leur milieu familial. Si cette phase est mal vécue par les parents, si l'enfant ne parvient pas a se construire un espace d'expression, il se ferme pour très longtemps les portes de l'acceptation et de l'affirmation de soi. Vivre ainsi éloigné de ses désirs est une véritable pollution mentale et émotionnelle. Dire non, cela s'apprend avec un peu de patience et de volonté. Nous pouvons « reprogrammer » nos habitudes.Il faut parfois dire non!
P O U R E N SAVOIR PL U S
Pour apprendre à dire non, il faut d'abord prendre conscience des idées fausses que nous nous faisons.
Les autres ne nous aiment pas davantage sous prétexte que nous acceptons tout. Il faut parfois dire non, même, cela les pousse à nous utiliser..
En disant non, on refuse ponctueilement quelque chose, on ne rejette pas la personne tout entière.
S'affirmer comme on est, avec ses propres désirs, c'est une façon de respecter les autres et de les aimer.
dimanche 11 septembre 2011
Enoncez vous !
Enoncez vous !
EN DEUX MOTS
Les émotions inexprimées encombrent la tête, le cœur et le corps.
Pour les évacuer pensez aux techniques comportementalistes.
Ces techniques valent aussi pour ceux qui ne parviennent pas à contrôler leurs explosions émotionnelles.
Il n'y a rien de mieux que les colères rentrées ou les chagrins inexprimés pour nous miner inexorablement le moral. Si vous faites partie de ceux qui ont du mal à dire ce qu'ils pensent et ce qu'ils ressentent, c'est le moment de vous y mettre ! Enoncez vous !
Des poisons lents
Les émotions entrées, inexprimées, nous encombrent la tête, le cœur et... le corps ! Elles s'accumulent sous forme de frustrations et de ressentiments. Elles nourrissent les pensées négatives. Peu à peu, elles empoisonnent les relations et finissent par perturber le fonctionnement du corps. Bien des phénomènes de somatisation sont le résultat d'émotions retenues, cachées et enfouies. Migraines, insommes, hypertension et troubles hépatiques, entre autres, ne sont parfois qu'une façon détournée d'évacuer ce trop-plein de tension nerveuse. Alors si vous désirez vous dépolluer complètement, il vous faut absolument apprendre à exprimer vos emotions. Enoncez vous !
La crainte d'être jugé
Les personnes qui ont du mal à exprimer ce qu'elles ressentent ont souvent peur du regard des autres. Elles craignent d'être jugées, puis rejetées. La première étape pour changer de comportement : prendre conscience de ce fonctionnement et s'apercevoir qu'il est erroné. La vie en société implique, certes, que nous devons réfréner certaines pulsions pour ne pas agresser inutilement les autres, mais il ne faut pas pousser ce principe à l'extrême. Chacun a le droit à un espace d'expression, même s'il est réduit. Les thérapies comportementalistes proposent une sorte de rééducation de l'expession. On s'efforce de se confronter, périodiquement, à une situation qui nous demande de réagir. Enoncez vous ! On se force un peu, on réussit, on reprend courage, et la fois suivante on met la barre un peu plus haut.
POUR EN SAVOIR PLUS
Si, à l'inverse, vous faites partie de ceux qui explosent pour un rien, sans parvenir à se contrôler, vous pouvez aussi apprendre à réguler ce flot intempestif. Les mêmes méthodes sont applicables, et avec succès.
Elles permettent de mettre un peu de distance entre soi et l'émotion qui submerge de manière à mieux la contrôler. Enoncez vous ! On échappe ainsi à la culpabilité sournoise qui suit les crises.
EN DEUX MOTS
Les émotions inexprimées encombrent la tête, le cœur et le corps.
Pour les évacuer pensez aux techniques comportementalistes.
Ces techniques valent aussi pour ceux qui ne parviennent pas à contrôler leurs explosions émotionnelles.
Il n'y a rien de mieux que les colères rentrées ou les chagrins inexprimés pour nous miner inexorablement le moral. Si vous faites partie de ceux qui ont du mal à dire ce qu'ils pensent et ce qu'ils ressentent, c'est le moment de vous y mettre ! Enoncez vous !
Des poisons lents
Les émotions entrées, inexprimées, nous encombrent la tête, le cœur et... le corps ! Elles s'accumulent sous forme de frustrations et de ressentiments. Elles nourrissent les pensées négatives. Peu à peu, elles empoisonnent les relations et finissent par perturber le fonctionnement du corps. Bien des phénomènes de somatisation sont le résultat d'émotions retenues, cachées et enfouies. Migraines, insommes, hypertension et troubles hépatiques, entre autres, ne sont parfois qu'une façon détournée d'évacuer ce trop-plein de tension nerveuse. Alors si vous désirez vous dépolluer complètement, il vous faut absolument apprendre à exprimer vos emotions. Enoncez vous !
La crainte d'être jugé
POUR EN SAVOIR PLUS
Si, à l'inverse, vous faites partie de ceux qui explosent pour un rien, sans parvenir à se contrôler, vous pouvez aussi apprendre à réguler ce flot intempestif. Les mêmes méthodes sont applicables, et avec succès.
Elles permettent de mettre un peu de distance entre soi et l'émotion qui submerge de manière à mieux la contrôler. Enoncez vous ! On échappe ainsi à la culpabilité sournoise qui suit les crises.
lundi 5 septembre 2011
CHASSEZ LES PENSEES NEGATIVES
CHASSEZ LES PENSEES NEGATIVES
EN DEUX MOTS
Cessez de ressasser des idées sombres et négatives.
Pratiquez la pensée positive .
Essayez la visualisation positive, elle ajoute une dimension visuelle et imaginaire au processus.
Et si vous alliez directement au plus simple pour vous désintoxiquer la tête et le cœur ? Si vous appreniez à laisser de côté les pensées négatives, douloureuses, perturbantes, pour les remplacer par des pensées joyeuses ?
L'avenir en équations négatives
Nous sommes parfois nos pires ennemis .Personne mieux que nous-même ne parvient à nous pourrir la vie. Il suffit parfois d'une parole qui nous a contrariés ou d'une demande qui n'a pas été entendue pour que nous nous mettions à ressasser notre rancune.
À d'autres moments,c'est l'avenir que nous mettons en équations négatives, en nous acharnant à redouter le pire au lieu de nous contenter d'espérer le meilleur. Nous tissons ainsi, peu à peu, le fil de nos angoisses. Du moins est-ce ainsi que nous agissons nconsciemment,même lorsque notre désir est ailleurs. Nous aimerions bien nous délire de ces idées sombres, mais comment ?
Chassez les pensées negatives - simple comme bonjour !
C'est si simple qu'on n'ose pas le mettre en pratique. Il suffit de le décider. À chaque fois qu'une idée de ce genre se manifeste, forcez-vous à y renoncer. Au début, cela semble impossible. Pourtant,avec un peu de volonté, vous parviendrez à l'effacer de votre mental. Pendant quelques secondes à peine ? Certes, mais c'est un début ! Plus vous pratiquerez, mieux vous parviendrez : tenir à distance ces idées néfastes . Vous pouvez aussi pratiquer la pensée positive. C'est une technique mentale qui plonge ses racines dans la fameuse méthode Coué. Ce pharmacien deTroyes s'était aperçu, au début du siècle dernier, que ses médicaments faisaient d'autant plus d'effet qu'il les accompagnait d'un message de soutien. Il s'étonna, s'interrogea, chercha, et finit par mettre au point une technique de programmation mentale dont les praticiens de pensée positive s'inspirent encore aujourd'hui. Le principe : on formule ce que l'on désire, à a forme affirmative, en phrases simples et courtes, contenant une seule idée. Puis on se les répète en état de relaxation chassez les penssées negatives .
P O U R EN SAVOIR P L U S
La visualisation positive pousse un peu plus loin le principe en ajoutant des images mentales au processus.
Chassez les penssées negatives .
Elle se pratique soit auprès d'un thérapeute, soit seul chez soi.
Une séance commence par une courte période de relaxation, puis on déroule un scénario au cours duquel on a l'occasion de ressentir des sensations positives, voire des émotions.
La visualisation thérapeutique y ajoute une dimension verbale, la balade mentale étant suivie d'un entretien.
Chassez les penssées negatives
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