dimanche 23 janvier 2011

Les vitamines anti-crises


Les vitamines anti-crises 

Certaines vitamines interviennent dans le fonctionnement immunitaire. Lorsqu'on en manque, il se détraque. Les carences favorisent entre autres, les crises d'asthme et les rhumes des foins. Une supplémentation bien choisie fait partie de l'arsenal «Les vitamines anti-crises ».
EN   DEUX  MOTS
Des cures régulières de vitamine C naturelle permettent de diminuer la fréquence des crises d'asthme et de rhume des foins, et d'atténuer leur gravité.
* Les vitamines du groupe B ont une action anti-histaminique naturelle, notamment la B5.


Étonnante les vitamines anti-crises C !
Un bon statut en vitamine C permet au système immunitaire de mieux fonctionner globalement, y compris dans les réactions allergiques. La vitamine C freine notamment la production d'histamine. Une cure régulière de vitamine C réduit la fréquence et la gravité des crises d'asthme ou des rhumes des foins. Choisissez de préférence une vitamine C naturelle,à base de cynorrhodon ou d'acérola : elle est mieux tolérée et ne provoque ni énervement ni problèmes digestifs. Elle y est naturellement associée à des flavonoïdes qui favorisent son assimilation par l'organisme.
Les doses officiellement recommandées :sont assez faibles :10 mg par jour pour un adulte. Mais bien des éléments augmentent considérablement nos besoins : la fatigue, le stress, la pollution, la grossesse, le tabac... Vous pouvez en prendre 1g par jour pendant un mois, voire 2 g si vous la supportez bien.

Quelques les vitamines anti-crises du groupe B...
Les vitamines du groupe B sont, elles aussi, des antihistaminiques naturels,notamment la B5, la B6, la B12. On les trouve notamment dans les ceréales complètes (pain, pâtes...), le poisson, les légumes secs, le foie, le jaune d'oeuf... Vous pouvez faire de temps en temps une cure de vitamines B,ou manger le la levure de bière.


POUR    EN    SAVOIR    PLUS
Parmi les vitamines  anti-crises du groupe B, la BS est la plus impliquée dans le processus allergique. On la trouve en grande quantité dans la gelée royale fabriquée par les abeilles pour nourrir la reine de la ruche.

La gelée royale contient les huit acides aminés essentiels, de nombreuses vitamines et des oligo-éléments, ainsi qu'un neuromédiateur important, l'acétyl-choline. Cette richesse exceptionnelle en fait un super-aliment, un complément alimentaire naturel que les personnes allergiques peuvent prendre en cure régulière de trois semaines, plusieurs fois par an. 
On trouve de la gelée royale dans les boutiques de diététique, sous diverses formes (flacons-doses, ampoules, gélules...) ; elle est vendue seule ou associée à d'autres substances (pollen, ginseng...). Les doses recommandées dépendent du conditionnement.

vendredi 14 janvier 2011

Allergiques,surveillez votre assiette

Allergiques,surveillez votre assiette

En deux mots


* Les allergies alimentaires provoquent des réactions globales de l'organisme, parfois très importantes.
* Les enfants, et même parfois les bébés, sont plus touchés que les adultes.
* Il ne faut pas confondre allergie alimentaire et intolérance, même si ces deux types de réactions se conjuguent parfois.


Les allergies alimentaires sont de plus en plus répandues. Certains aliments provoquent des réactions parfois importantes, surtout chez les jeunes enfants. À surveiller de près, d'autant que les allergènes alimentaires se répandent dans tout l'organisme et se manifestent sous toutes les formes.
Par où pénètrent les allergènes ?
Les allergènes pénètrent dans l'organisme de plusieurs manières : par voie respiratoire, par les yeux, par la peau ou par ingestion. Dans tous les cas, la réaction allergique peut se situer soit sur le lieu du contact (eczéma de contact, conjonctivite en réaction au pollen...), soit par voie sanguine.
Les allergies alimentaires font partie des plus sournoises, parce qu'elles entraînent une réaction globale de l'organisme : cutanée, respiratoire...
Dès l'enfance...
Les jeunes enfants sont les plus exposés aux allergies alimentaires. Même les bébés nourris au sein peuvent développer une allergie si le lait maternel contient des protéines allergisantes provenant de l'alimentation de la mère. Dans la majeure partie des cas, si l'alimentation de l'enfant est étroitement surveillée pendant les premières années de sa vie, l'allergie reflue et disparaît avant l'âge de 10 ans. On sait en outre qu'un enfant ayant deux parents allergiques a 50 % de risque de le devenir lui-même, alors que cette éventualité tombe à 33 % s'il n'a qu'un seul parent allergique, et à guère plus de 10 % si aucun des deux ne l'est ! C'est pourquoi, dans le premier cas, les médecins conseillent d'allaiter l'enfant au sein pendant trois mois, puis de passer à un lait maternisé antiallergique, enrichi en probiotiques (qui favorisent un bon développement du système immunitaire). Les aliments les plus allergiques (œufs,lait...) ne doivent pas être donnés avant I an.


POUR    EN    SAVOIR    PLUS 
Il ne faut pas confondre allergie alimentaire et intolérance. Il arrive que l'on ne supporte pas un aliment et qu'on y réagisse, sans pour autant qu'un processus allergique soit déclenché par le système immunitaire. Les symptômes sont alors différents : maux de tête, symptômes digestifs.
> Cependant, allergie et intolérance se complètent et se renforcent mutuellement. Chez une personne allerguque, une hyper-réactivité digestive peut s'installer, qui la rend beaucoup plus sensible que les autres aux produits pas frais ou aux composants chimiques.

vendredi 7 janvier 2011

L'alimentation de la ménopause

L'alimentation de la ménopause
Plus que jamais, il faut veiller à équilibrer votre alimentation car, au fur et à mesure que l'on avance en âge, les erreurs alimentaires sont de plus en plus néfastes. Les modifications hormonales induisent des risques nouveaux, notamment cardio-vasculaires, qu'il faut prendre en compte.
EN   DEUX  MOTS
* À l'approche de la ménopause équilibre rime avec diversité.
* Evitez les sucres raffinés, qui perturbent le fonctionnement hormonal, et les graisses car le risque de cholestérol augmente avec l'âge.

Ni trop, ni trop peu...
La ménopause provoque des variations hormonales importantes. Et certaines maladies, comme l'ostéoporose et le cholestérol, deviennent plus menaçantes après 50 ans.
Le maître mot de l'équilibre  l'alimentaire à la ménopause: la diversité. Il faut manger de tout de manière raisonnable. C'est donc le moment de prendre de bonnes habitudes. Mangez des aliments frais et de bonne qualité, privilégiez les fruits et les légumes, ne supprimez pas les céréales, préférez le poisson à la viande, découvrez l'infinie richesse gustative des huiles crues...
Attention au sucre
Les seuls aliments à limiter de manière drastique sont les sucres raffinés et les graisses cachées. Ces dernières, qui s'accumulent dans les charcuteries, les pâtisseries, les viandes grasses, favorisent la formation du mauvais cholestérol. Le sucre, lui, est néfaste à tous les âges. Mais dès les premiers signes de la préméno-oause, vous devez y faire particulière-nent attention car il intervient dans le fonctionnement hormonal : le sucre blanc et les sucreries perturbent les glandes endocrines, accentuent les bouffées de chaleur, ralentissent l'assimilation du calcium,grignotent une partie des vitamines et des minéraux... De plus, ils sont facteurs d'obésité.

POUR    EN    SAVOIR    PLUS  d'alimentation de la ménopause
Faites très attention au grignotage : non content d'interdire tout repos à votre système digestif, le grignotage surcharge votre organisme en toxines. Sans oublier qu'il est très difficile de contrôler ce que l'on mange lorsqu'on accumule les en-cas.
Pensez à manger des fruits secs (noix, noisettes, amandes...) pour leurs acides gras essentiels et leur vitamine B, ainsi que des légumineuses (lentilles, haricots...) pour leurs sucres lents et leurs acides aminés.
Misez sur les épices et les aromates: en plus de relever les plats, ils ont des vertus Médicinales.